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Dans le genre « mais t’es tombée sur la tête », je me pose là en ce moment. Après ma lubbie du running, je m’amourache des tatouages (ça va tellement bien avec les pectoraux).

Et pourtant, il y a quelques années. le gros espadon de mon frère m’avait fait hurler (arrêtez les mauvaises pensées, c’est mon frère quoi !) oui, celui qu’il a sur… #censure. Mais quelle idée de se faire tatouer alors que rien ne dure toujours dans ce bas monde ?

Du coup je me la fais petite joueuse. J’ai commencé avec les malabars… ceux qu’on trouve dans les chewing-gums (il y en a un « je te like » fait pour moi).
Un jour alors que je cherchais un cadeau pour la vieille tante des enfants convalescente, je suis tombée PAR HASARD sur les tatoos Bourjois x l’adorable Make my lemonade (blogueuse un jour, blogueuse toujours). J’en ai pris deux. Et j’adore me coller un petit coeur au poignet ou une plume sur le bras sans que personne n’en sache rien.
Malheureusement, ça ne tient pas très longtemps (2 jours max). Tout comme les tatoos Bernard forever reçus en cadeau avec ma commande Birchbox.

Alors je me contente de rêver.

Je rêve de ce que je pourrais me faire tatouer si Isabelle rimait vraiment avec rebelle. Une plume et des lignes d’apsem lorem sur la hanche ? Une licorne, un dauphin ? (La tête de Johnny en technicolor ?)

Et depuis que mon frère a joué les tatoueurs sur moi avec des feutres tatoos pour enfants (plus en vente mais de ce type ), je rêve d’un amoureux qui me dessinerait un tatoo au creux du poignet, tous les matins. Comme un je t’aime indélébile à réécrire chaque jour. J’ai le tatouage romantique on dirait (on va opter pour le dauphin alors !).

PS : photo que vous avez peut-être déjà vue sur mon instagram, d’un tatoo by mon frère cet artiste.