Oui, on peut-être fan de Woody Allen et se poser la question. Parce qu’envoyer son petit voir un pédo-psy, c’est s’avouer qu’il y a un problème . Et avec les enfants, on aimerait qu’il n’y en ait jamais de problème. On est comme ça, nous les parents.
Toujours a vouloir le meilleur pour nos enfants. Toujours a faire des erreurs dont s’imprègnent nos petites éponges à émotions. Toujours à se poser des questions.
Ne vaudrait-il mieux pas les poser à un spécialiste ces questions ? Un pédo-psy qui nous soignerait nous en même temps qu’eux. C’est ça qu’il fait le pédo-psy non ? Il remet en cause l’attitude des parents au regard du comportement des enfants. Il décrypte les rouages de la famille pour en tirer le grain de sable qui grippait la machine. Elle n’était un peu pédo-psy Super Nanny tiens ?
Je rechigne quand même à faire s’allonger mes petits sur un divan. Parce que j’ai du mal à y voir un signe de progrès. Plutôt un geste de renoncement. Et j’ai dû mal à m’avouer vaincue. Tout comme j’ai du mal à l’imaginer tout seul dans la cour d’école, recevant les (petits ?) coups de ses petits camarades.
« Emmène-les chez le pédo-psy, ça leur évitera 5 ans d’analyse » m’a dit une amie hier.
Et si c’était plutôt à moi d’aller chez le psy ?
Et vous, pour ou contre le pédo-psy et surtout, quand y aller ? Si il y a un pédo-psy dans la salle qu’il s’allonge à son tour, je suis toute ouïe !
Définitivement CONTRE.
Au moins, c’est clair !
j’irais si je sens que Baby Z va mal très mal, si son comportement change, si elle se renferme… si je n’arrive plus à communiquer avec elle, oui je pense que j’irais
Ce qui me stress, c’est de passer à côté de quelque chose en effet !
A utiliser avec beaucoup beaucoup de parcimonie et à bon escient ! Dans ma profession, j’ai vu trop de gens qui avaient un besoin urgent et réel de consulter un psy et qui ne voulaient pas s’y rendre à cause d’un suivi psy ultra précoce auquel ils n’avaient rien compris et qu’ils avaient très mal vécu. Normal, c’était pas eux qui avaient un problème mais les parents ou du moins les relations intra-familiales !
Donc je crois qu’il ne faut pas complètement banaliser la démarche ou la mettre à la mode.
C’est le problème. On va voir un psy comme on achète une baguette. Mais parfois, on ferait mieux d’aller voir un psy plutôt que d’acheter une baguette !
Plutôt pour…Dans mon métier, je suis souvent amené à conseiller des parents d’aller le voir. Pas forcément si il y a un gros souci d’ailleurs…
Parfois ça peut être car l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite soeur pertube un peu le schéma familial et que les parents se trouvent démunis avec un « grand » qui redevient petit (pipi dans la culotte alors qu’il était propre…).
Ca peut être aussi parce qu’on voit qu’un enfant va mal (il ne fait pas se voiler la phase, ça arrive aussi!!).
Je rencontre souvent des parents qui ne savent plus où ils en sont, leur enfant change et ils ont besoin de conseils, et pour leur répondre il faut connaître une partie de leur histoire familial qu’ils n’ont pas forcément envie de confier à la personne qui s’occupe tout les jours de leur enfant!!
bref, plutôt pour..et ils ne font pas s’allonger les enfants sur les divans si ça peux te rassurer…C’est surtout un temps d’échange entre le pédo-psy, l’enfant et les parents…hi hi hi
Du coup, j’ai demandé à la maîtresse en me disant qu’elle avait l’habitude. Elle m’a rétorqué un nonnnnnnnnn (qui disait mais qu’est ce que vous me racontez là !)
Pour Pierrafeu on voit un psy toutes les trois semaines. Ca devenait infernal, il a de gros problèmes de « crises » qui nous usent. Il y va 15 minutes toutes les trois semaines, il discute de ce qu’il veut, il joue. La psy est très sympa, elle n’a porté aucun jugement. On a fait cette démarche pour éviter de le stigmatiser comme le « mauvais garçon qui use ses parents ». Il a un souci pour trouver sa place, il fait bcp de cauchemars, est très angoissé et on voulait être soutenu pour l’aider.
Il a quel âge déjà ? Quand l’incompréhension s’installe, c’est bien de faire quelque chose. Le psy peut-être une solution, en effet.
je l’ai fait à plusieurs occasions avec les deux miens mais pour des périodes courtes (4 à 5 séances) histoire d’identifier le problème et de s’appliquer à le résoudre.
ils savent surtout mieux poser les questions que nous parents de part leur position neutre par rapport à l’enfant.
après il ne s’agit pas non plus de partir en analyse continue là je suis d’accord.
et ça ne se justifie qu’en cas de problème évidemment
après faut aussi trouver le bon « intervenant »
Merci pour ce retour d’expérience encourageant.
J’ai longtemps hésiter à y aller avec mon dernier et puis ça s’est « tassé », on a retrouvé l’harmonie. Je ne peux pas dire si j’ai eu raison ou tort, seulement que je ne me sentais pas à l’aise avec l’idée d’y aller, de devoir me remettre en question devant quelqu’un 🙁
Je te comprends, je suis un peu comme toi.
j’y suis allée pour mon fils car à un moment on avait de gros soucis de sommeil et on était à bout du rouleau…maintenant l’expérience a été très mitigée…j’en suis sortie avec l’impression d’avoir été nulle sur toute la ligne, j’ai été chargée en tant que mère (sur le père pas un mot…ça a quand même tendance à m’énerver on les elève à tous non? )
Alors là, tu n’as pas dû tomber sur le bon. Un psy comme ça t’y retournes jamais. On sait qu’on a tous des torts mais charger la mère, c’est trop facile !
Honnêtement j’en sais rien, je n’ai pour le moment pas vécu de situations pour lesquelles j’aurais pu me poser la question.
Je pense par contre qu’on met beaucoup de pression aux parents pour que leurs enfants soient parfaits mais si on admet que les parents ne peuvent pas être parfaits pourquoi les enfants devraient-ils l’être ?
Ce n’est sans doute pas une question d’être parfait ou pas. Ce qui m’inquiète, c’est de passer à côté d’une souffrance. On ne sait pas à quel point les choses qu’ils vivent à l’école les touchent ou glissent sur eux. Et ce n’est pas facile de les faire parler de ce qu’ils y font.
Oui parfois. allez j’avoue: je suis psy (-chiatre, pas -chologue 🙂 ) et ai fait donc des stages en pédopsy.
effectivement l’avantage de consulter un pédopsy c’est qu’on fait souvent 1 pierre 2 coups: l’enfant et les parents. pour des petits soucis ça peut vite rentrer dans l’ordre.
côté perso, je suis allée, enfant, chez un pédopsy (-chologue pour le coût) à cause d’anxiété de séparation… je ne vais pas raconter ma vie mais en quelques séances c’est rentré dans l’ordre (enfin peut-être pas totalement puisque je me suis orientée vers ce domaine professionel, hihihi)
Une psy ! Merci ! C’est un peu la conclusion à laquelle je parvenais, à vous lire toutes. Il faut déjà constater une réelle souffrance. Et pas y courir au moindre accroc.
Pour!
Pédopsy ne signifie pas forcément traitement tous les X temps.
Notre bout de chou 11mois il fait des crises de pleurs qui peuvent durer 4heures d’affilés et des nuits où il se réveille jusqu’à 6 fois. C’est usant.
Hier nous sommes allés voir une pedo psy qui nous a expliqué plusieurs petites choses.
Cela ne règlent pas tout de suite, mais cela rassure, cela permet d’avoir un avis extérieur. Quand on a le nez dans le guidon il n’est pas facile de se rendre compte de nos erreurs.
Ce n’est pas un signe d’échec, prendre conseil, parler permet souvent de désamorcer une situation qui aurait pu dégénérer. La fatigue peut parfois faire des choses que l’on regrette.
Je préfère donc toujours le dialogue.
en relisant les commentaires écrits précédement. Je pense qu’il faut aussi bien faire attention au pédopsy que l’on choisi.
Le premier n’est pas forcément le bon. Essayez-en plusieurs.
C’est trop facile de dire c’est la faute de la mère!
Les mères font ce qu’elles peuvent et ne sont pas responsables de tout. L’enfant à son propre caractère, le père, la nounou, les autres enfants qu’il cotoie ont aussi un rôle à jouer.
Mais à trop changer de psy, ils ne doit rien y comprendre le ptit non ? Sinon, bienvenue à toi !
Moi je dis pour.
Je suis allée voir un pédo psy alors que j’étais adulte et sans enfant… mais pour un problème qui remontait à l’enfance…
Bref, je suis tombée sur quelqu’un de très bien qui m’a permis de mettre le doigt toute seule sur ce qui n’allait pas et de trouver toute seule comment le résoudre… Le simple fait qu’il m’écoutait et me prenait au sérieux dans mon mal être a suffit.
Donc oui, c’est utile.
C’est original ta démarche. Merci pour ce com.
C’est marrant comme le sujet est d’actualité pour nous. J’ai déjà été voir un pédo psy pour mon grand qui avait de très grosses crises d’agressivité à la naissance de son petit frère, verdict: un DESASTRE! Le pédopsy n’était vraiment pas le bon. Aujourd’hui je me repose la question pour mon cadet: je sais que son mal être est lié à sa place dans la fratrie (2è de 3 enfants) mais je n’arrive pas à m’en sortir toute seule, donc oui je m’avoue vaincue et perso c’est très dur comme démarche, mais si ça permet à mon cadet d’aller mieux, alors je suis preneuse.
Ce n’est pas facile les rapports dans une fratrie. Mon grand se laisse un peu manger par la petite et arg, je ne sais que faire ?
J’ai toujours envisagé la consultation chez un pedo psy comme un constat d’échec … mais quand mon grand de 3 ans a été stigmatisé par l’école (en petite section !) comme « dans son monde », « en retrait », et que moi-même j’étais fragilisée par sa personnalité et ses colères, je me suis orientée vers la psychologue de la PMI (un « entre-deux » dirons nous). Je savais aussi intimement que j’avais moi-même besoin d’être rassurée sur certaines choses et d’avoir des clés de compréhension de mon enfant et surtout de l’incompréhension qu’il pouvait susciter. Verdict, mon enfant est précoce et très sensible, ce que j’ai appris à gérer depuis. Aucun jugement de la psychologue, de véritables aides pratiques, deux entretiens (un avec mon enfant, et l’autre sans), et depuis tout va beaucoup mieux. Il ne faut pas sous-estimer non plus que parfois, cette démarche est un déclic pour l’enfant qui se sent écouté par ses parents qui reconnaissent qu’il est en souffrance. Désolée de ce com un peu long.
Tu as su détecter la souffrance au bon moment. C’est bien. Merci pour ce com et la longueur n’est pas un problème !
Ici 0 stress à ce sujet ! J’assume d’avoir rompent ma puce a 3 ans et demi voir une super pedopsy parce que faire ce chemin de constater que l’enfant souffre c’est notre rôle de parents. Notre responsabilité et c’est un premier pas vers la solution !! Ils sont là pour nous aider alors pourquoi se freiner !! Souvent le petit se confiera plus à une tierce personne ! J’en avais été bluffée pour la part ! La d’ailleurs j’attends la toussaint mais si choupie continue ses tics et son agressivité je la remmènerai 😉
J’avoue que j’attendais ton avis la dessus. A priori, je n’ai rien contre, ce qui me trouble, c’est de savoir QUAND les emmener pour ne pas banaliser la démarche et garder la carte pour les vrais problème. (il y a le qui aussi qui est stressant pour trouver le bon psy qui saura les faire parler)
A vrai dire, je n’en sais rien…
Peut-être que j’aurai du y emmener TiBiscuit à la naissance de sa soeur, peut-être que je devrais l’emmener maintenant où il est difficile et où j’ai l’impression que certaines choses le tracassent, mais je préfère jouer les pédopsy et discuter un max avec lui. Il finit toujours par dire ce qui ne va pas.
Par contre si je voyais qu’il souffrait vraiment moralement, je l’emmènerai.
Il avait des tocs, il était super introverti mais on a réussi à changer tout ça sur la longueur sans pédopsy.
Quand on sent que la bonne volonté ne suffit plus, c’est certainement un bon relais en effet.
Je ne peux pas dire, il n’y a jamais eu de situations où j’ai identifié de besoins…Ca devrait peut-être d’ailleurs m’inquiéter : soit c’est de la chance soit je suis aveugle !
Mais non, c’est que tout va bien et c’est très bien. C’est la première fois que je me pose la question et je ne me la serais sans doute pas poser si on n’avait pas changé d’école.
Mais il faut qu’il y ait un problème à la base pour aller voir un pédo-psy non ? C’est vrai que j’irai bien pour moi, quoI ? Je suis tellement jeune dans ma tête 😀
LOL ! C’est moi qui doit aller le voir, c’est ce que je pensais 😉
Oh la question difficile 😀 Impossible de dire oui ou non, vu que ça dépend de chaque cas particulier…
Je pense que le pédo-psy peut être d’une grande aide dans certaines situations, et qu’il ne sert à rien la très grande majorité du temps. Je t’aide?
Oui !
Moi, j’ai déjà amené B.chez le pédo psy. D’ailleurs je suis totalement pour, car je pense qu’on est pas parfait en tant que parents. En étant parents on a tt ce coté émotif qui ns empêche d’être objectif envers nos enfants, et je suis convaincue qu’un pedo-psy ou psychologue ns aide à ns poser les bonnes questions et dc ns montre les petites failles de notre éducation et la véritè sur nos enfants. Pour ma part cela ns a bcp aidé et a bcp aidé B. B. n’a jms étè allongé sur un divan, bien au contraire il jouait et ns on écoutait.
Ce sont les rôles de chacun dans la famille que le psy décrypte, pour voir si l’enfant n’est pas en retrait quelque part. C’est bien de poser les choses sur table.
Je rebondis sur le comm’ de MissBrownie (fais-moi penser à te mettre dans ma liste de blogs d’ailleurs, c’est écrit sur ma todo list mais je procrastine) (faudrait petu-être que je consulte?) bref… Pour moi un enfant qui vit difficilement certaines étapes de la vie (arrivéé d’un nouveau bébé dans la famille, entrée à l’école, etc…) c’est normal et ça prouve juste que tout va bien, surtout si tout rentre dans l’ordre et que tu réussis à en parler avec lui… Aucun besoin de pédo psy dans ton cas 😀
Ben moi, en tant qu’instit’, je sais que les enfants qui vont chez le psy ont tendanace a changé (en bien!) et à devenir plus sûrs d’eux. Le pédo psy du secteur a très bonne réputation…. Quant à y emmener les miens, si je me rends compte de mes limites, pourquoi pas… MAis j’irais sans doute la « mort » dans l’âme…. Bisous
Du coup, j’ai demandé à l’instit qui m’a dit non. Si le problème à l’école persiste, je me reposerai la question dans quelques mois.
T’as une copine qui t’as dit ça ? Tiens…
Ouais. Elle était assez convaincante. Et je trouve qu’il vaut mieux se poser la question même si c’est pour en conclure que non
C’est intéressant ton article car je me suis posée la question il y a pas longtemps. Pour être plus exactement c’est ma belle mère qui me l’a suggéré car le bain de ma fille se passe TOUJOURS très mal malgré le fait qu’on tout essayé et que plusieurs personnes (moi, mon mari, ma mère, ma belle mère…) bref, une smala de personnes ont essayé à leur manière de lui faire un bain sans cris, ni pleurs… Et c’est impossible. J’avoue qu’on le vit très mal comme parents car on a toujours en tête cette idée d’un bain qui est plutôt synonyme de jeu et là c’est juste un drame à chaque fois…
Quand les enfants étaient petits, je posais toujours les questions psy au pédiatre qui y répondait fort bien. Tu lui a demandé ce qu’il en pensait ? (ou elle)
En tant qu’adule je n’irais jamais voir quelqu’un, ce n’est pas mon truc j’ai mes copines à qui je parle!
mais chacun le ressent différemment.
Si un enfant est vraiment en souffrance ça peut l’aider de parler à quelqu’un qui n’a pas d’affectif en jeu. Je veux dire que comme on aime son enfant on n’est pas forcément capable d’imaginer ce qu’il ressent vraiment parce que ça risque de ne pas nous plaire. Je connais pleins d’enfants qui ont été parler à des docs pour des problèmes de sommeil ou lors d’une séparation des parents et ça s’est bien passé. Parfois 2 ou 3 séances suffisent pour mettre l’accent là où ça ne va pas. Et souvent aussi le doc rencontre les parents 😉
Ce qui me fait peur, c’est de passer à côté de sa souffrance en fait. Et le laisser s’installer en victime par inattention. C’est clair que le pédo-psy me ferait aussi du bien si il me rassurait dans mon rôle de parents. Est-ce que je fais bien ?
Mais c’est quoi cette histoire de coups d’ailleurs? ton fils se fait houspiller par ses « camarades »?
« houspiller », c’est le terme. Il me mime les scènes et ça me serre mon petit coeur de maman !
Je suis en plein questionnement, déjà l’année dernière la question était d’actualité, j’ai écris hier soir au sujet de mon grand et de son problème de comportement d’où mon grand intérêt à te lire ce matin. L’instit me conseille un RDV avec pédo psy de l’école, faire une sorte de bilan… mon fils déborde en classe (et à la maison), ça fait 3 ans que ça dure, je ne sais plus comment le prendre et les instits non plus : il parle tout haut, se lève, gigote, râle, se plaint, comme s’il n’y avait pas de règles un vrai petit animal sauvage…
Je vais prendre RDV on verra bien… enfin je crois …
Si l’instit te le conseille, autant essayer. C’est ce que je ferais en tout cas. Ils ont l’habitude de voir défiler les enfants et savent repérer les failles. Tiens nous au courant sur ton blog.
moi je suis allée chez le pedopsy ! (quand j’avais 8 ans)
Je ne m’en rappelle pas trop mais je crois que ça m’a fait du bien. En fait j’avais des grandes « peurs/angoisse » à en devenir livide. J’ai eu peur de mon psy aussi… Mais franchement y avait besoin, mes parents tous seuls étaient incapables de répondre à mes angoisses.
A 36 ans aujourd’hui je me rends compte que c’est mes parents qui avaient pas mal de soucis, pour eux, leur couple, etc. Je crois aussi qu’ils ne m’avaient pas parler de la mort.
Les angoisses des enfants traduisent souvent celles des parents, c’est sûr. C’est drôle que tu aies eu peur de ton psy. Ca s’est arrangé avec le temps ?
Merci pour ce beau post. Je fais moi même des consultations à domicile pour traiter les petits soucis des bébés et des jeunes enfants.( Sommeil, endormissement, conflits autour des repas, colères…)
Pourquoi attendre pour aider vos enfants a aller mieux ?
Oui aux aides extérieurs, le regard d’un tiers est toujours bienveillant.
Tout dépend de la façon dont l’on considére le pédo psy. J’ai envie de dire, un bon pédo psy te dira lui même si tu viens le voir pour une broutille. J’ai été voir plusieur fois cette psy http://www.psychologue-estrampes.fr/ pour mon fils, à chaque fois ca a proté ses fruits donc je ne vois pas pourquoi je n’y retournerai pas.
Alors au final? Tu as fait quoi?
Ici je pense appeler le CMPP demain…mon « grand » de trois an et demi…nous avons été « conviés » à un rdv vendredi avec la maitresse et la directrice pour découvrir bouche bée, qu’il est très isolé des autres enfants car un comportement oscillant entre la petite taquinerie et la violence…une facette de sa personnalité qu’il ne nous dévoile pas à la maison et qui le met dans une situation délicate…la seule manifestation étant de nous dire qu’il ne veut plus aller à l’école.
Devant un comportement si différent, je pense que l’avis d’une personne extérieurs, neutre et bienveillante peut nous permettre de débloquer la situation, avant qu’il ne soit stigmatiser (ou qu’il ne stigmatise d’autres enfants).