Je sais bien qu’on est le 15 décembre et que c’est encore un peu tôt pour faire le bilan. Mais parfois quand je lis un livre chiant, je fais ça, je saute quelques pages, ni vu ni connu (Ne le dites à personne) pour passer à un chapitre qui me plaira mieux.

Et je ne vous dis pas comme  je suis pressée d’ouvrir un nouveau chapitre. Allez les gars, on referme 2017, la douleur et les larmes, avec. L’opération de l’épaule, le RSI qui reçoit plus qu’il ne donne = rien, l’ancien collège. À double tour. On aura oublié dans 10 ans de toute façon, on n’a pas de photo. L’avantage d’avoir une mémoire de poisson rouge.

Il nous restera ça. Ce #2017bestnine, les 9 photos les plus likées sur mon compte Instagram, qui résument si bien ces 350 jours :

Mes trois fabuleux blogtrips

de cette année, alors que jusque là, je n’en avais pas fait plus d’un par an.

La Martinique et ses couleurs avec Marjo et XLAirways.

La Corse et notre rando jusqu’à l’incroyable panorama des Pozzi et les apéros face à la plage à couchers de soleil avec la team COEURsica au camping Parla di Mare Sunelia.

Le Cap Vert avec encore NatachaAstrid (homologuées belles rencontres 2017) Céline et une bonne team de malade au nouveau club Jet Tours.

Trois séjours express qui ont apporté du soleil à cette année en gris.

Mon anniversaire

campagne électorale avec ceux qui comptent (sur les doigts d’une main)

Juste avant l’opération, juste avant les élections, avec un Votez pour moi qu’on aurait pu traduire par Aimez moi les copains.

Ma maison

La voir si belle avec la glycine de Printemps, me fait oublier qu’on est toujours en chaud-froid. En ce moment, c’est vraiment le super-freeze avec la jauge de fuel (branchée sur mon moral), qui baisse à vue d’oeil. J’aurais passé beaucoup trop de temps enfermée avec elle à écrire les pages de cette année… et celles d’un roman dont j’espère vous reparler très vite.

2017 aura au moins servi à ça. J’AI PRESQUE FINI MON ROMAN LES GARS

 

PS : J’ai oublié la photo « mots fléchés » avec l’humour de ma fille. Parce que l’HUMOUR, c’est quand même ce qui nous reste quand rien ne va plus !