Un peu avant Noël, on a décidé qu’il fallait envoyer l’ado (13 ans) en Angleterre pendant les vacances de février. Parce que C’EST QUAND MEME PAS COMPLIQUÉ DE FAIRE UNE PHRASE AVEC UN VERBE (Si ?). Vous voyez l’ambiance.

L’envoyer en Angleterre mais où ?

Évidemment, j’ai pensé à Telligo. Il me manquait juste le CE d’une grosse boîte pour financer.

J’ai regardé du côté d’Education First aussi. Juste parce que des copines blogueuses avaient testé en blogtrip (d’ailleurs, je vous ai mis le lien vers le billet de ma copine Alicia sur le sujet) #jesuisunmouton mais ils ne proposaient que des séjours de deux semaines minimum. Et pour une première fois, une seule semaine me suffisait rassurait.

Je voulais aussi un hébergement en centre façon colo. Parce que c’est booooon, c’est les vacances aussi.

Et des cours quotidiens pour reprendre les bases. Histoire d’en finir avec les cahiers qui volent.

Et puis un voyage en train please.

J’ai trouvé tout ça, les matinées sports bizarres en plus, chez CLC, qui fait partie du groupe Go & Live avec lequel l’ado était parti en Provence avec le collège.

J’avais donc une carte avec des points (et des réductions). Qui n’a servi à rien puisque j’ai réservé (en vrai c’était son père hein #transparence) via Vente Privée.

Et alors, il était bien, ce séjour linguistique ?

Je vous spoile tout de suite. Il n’est pas revenu bilingue ! Mais c’est tout pardonné, il rapporté mon mug Harry + Meghan = amour éternel sans divorce.

Le stage, s’appelait Sport Camp.

Du sport le matin. Rien de foufou mais en anglais. Du Parkour, du lippo flace (et vive la phonétique), night way, de l’échelle de Jacob, laser game, de la piscine sur le campus. « en vrai c’était cool ».

De l’anglais l’après-midi. Surtout de l’oral apparement. « On ne pouvait parler que anglais pendant les cours » (c’est sur que pour apprendre l’anglais, parler anglais, c’est mieux).

Et des veillées en anglais. Avec Nemo en VO sous-titré anglais comme Nemo (le reste, il a oublié, c’était il y un mois et demi quand même).

Le dernier jour, ils ont même visité Londres (pour acheter mon mug royal, tu suis ?)

J’ai un peu surstressé au début du séjour mais l’ado avait son portable (et l’embout pour le recharger !) pour me donner des nouvelles. Le truc servait enfin à téléphoner. Pas besoin de blog comme pour les plus petits.

Et on a eu un appel de la colo (je sais, c’est une SEJOUR LINGUISTIQUE) quand il a eu un différent avec un « copain ». Smiley tout bleu comme ma tête en entendant ça.

Puis un rapport par courrier le mois suivant avec un volet colo rempli par le responsable du stage et un volet linguistique rempli par le prof d’anglais. Ça va, il a bien travaillé. Enfin je crois, le rapport était en anglais !

Dites-moi si vous avez déjà testé les séjours linguistiques pour vos ados et où. Ca peut servir même si ici, on est très content de notre expérience NO SPONSORED avec CLC.

Lire aussi : Comment mon fils s’est réconcilié avec l’anglais