Je sais, c’était il y a un siècle la fête des mères. Mais je pense que ça mérite qu’on revienne dessus. Rapport à tous ces fers à repasser et ces cadeaux pré-machés qu’on trouve toujours dans les magasins à cette période.

Madame théorie, donc, a une théorie sur les cadeaux de fête des mères. Ceux là, plus que les autres, oui. Ceux là doivent être faits avec le coeur, voyez-vous. 

Parce que finalement, je m’en fous du cadeau de fête des mères (sans doute parce que ça tombe juste après mon anniversaire). Et puis, ca me fendrait le coeur  d’imaginer que mon cadeau a été acheté avec les pièces de deux euros de la petite souris…

MAIS ça me fendrait encore plus le coeur de ne pas avoir de cadeau de fête des mères (vous suivez ?). 

Le cadeau idéal, c’est J. qui me l’a offert cette année. Pensé par elle, réalisé par elle, sans un adulte pour lui dire de faire comme ci ou comme ça et surtout d’écrire ci ou ça. 

Dans son pot à mots gentils, il y avait ces mots qu’on rêve d’entendre quand on est là maman d’une pre-ado. Ces mots qui nous rassurent. Des trucs du genre, je te trouve très drôle (parfois on se demande) ou « Tu es là maman que tout le monde rêve d’avoir » (SCOOP). Le pouvoir des mots > à tous les fers à repasser du monde. 

PS : et mon fils m’a fait le cadeau le plus drôle de l’univers. Un cadre à selfie avec lui dedans. On a ri, mais ri (même si je vous avoue qu’il est à la poubelle à l’heure où je vous écrit !)