C’est l’histoire du Père-Noël… Meuh non, je plaisante !

M’enfin, pas J. 3 ans et demi. Pour elle, un bonhomme avec un costume rouge et un bonnet pointu, c’est le Père-Noël, forcément. Pas sûr qu’elle ait compris grand chose au film.

Mais qu’importe. Parce que son frère, M. 6 ans certes, bon public a bu du petit lait pendant tout « Le marchand de sable ». Théo, le petit garçon de 7 ans qui rêve d’être commandant comme son papi mais qui a une peur bleue de l’eau, c’était lui. Et d’autant plus facilement que le film navigue entre images filmées (la réalité) et scènes animées image par image, à partir de marionnettes (le rêve).

Donc, le Père-Noël le bonhomme en rouge, c’est le marchant de sable (vous savez, celui de Bonne nuit les petits. Enfin, en plus vitaminé quand même !). Et il a un problème puisque le méchant Tourni-Cauchemar, a piqué le sable magique qui plonge les enfants au pays des rêves. Et qui est-ce qui doit aller le récupérer et affronter ses peurs ? C’est Théo oui !

Le marchand de sable, un film drôle, gourmand, poétique et positif. A voir avec des petits de 3 à 8 ans, dès aujourd’hui.

Lire aussi l’avis de Carole dont les critiques de films m’inspirent souvent.