Une sieste à l’ombre du marronnier, des magazines, des barbecues, des ploufs dans l’eau, des gamins qui s’entendent bien, des parents qui prennent le temps. Il est de ces journées mémorables dont on n’aimerait qu’elles s’éternisent. Grappiller une ou deux heures de plus, juste pour le plaisir. Et se coucher à pas d’heures parce qu’on est si bien avec ses amis.

Et puis, un cri dans la nuit. Un enfant s’éveille. Puis un autre. Un troisième appelle et le quatrième se manifeste aussi. Pleurs à la chaîne, cacophonie de cris, nuit hachée, nuit gâchée. De ces nuits qui vous font dire « Les bébés, c’est fini pour moi ».

Passer sa matinée à attendre la sieste à l’ombre du marronnier puis reprendre le programme, magazines, barbecues, ploufs dans l’eau, les gamins qui s’entendent bien, les parents qui prennent le temps.

Des week-end comme ça, j’en reveux encore.
Des amis comme ça, ça vaut de l’or !