Le must dans les milieux 3.0, c’est d’envoyer ses voeux à l’ancienne avec des timbres qui se lèchent et des cartes fabriquées à la main.

Des petits mots d’amitié qui nous transportent 20 ans en arrière quand on laissait des messages au facteur au dos de l’enveloppe et que nos i n’avaient plus de points, mais des coeurs.

Alors pour vous, et surtout pour ma copine dont je ne pouvais pas laisser la bouteille à la mer, un DIY complètement 1.0 et surtout hyper facile. 

Exit l’internet mondial, on débranche l’iphone, pas de twitpic, pas de Facebook, juste du papier, des enveloppes et le matériel chouchou des blogueuses : le masking-tape.

1. Prendre une feuille cartonnée A4 (j’ai pris les feuilles qui me restaient de mes menus de mariage… il y a 10 ans !) et la couper en deux dans le sens de la largeur. Puis la plier en deux dans le sens de la largeur

2. Pour la couverture, coller des bande horizontales de masking tape de plus en plus petites pour former le sapin. Ajouter une petite bande verticale pour faire le tronc. Si les bandes ne sont pas droites, ce n’est pas grave, ça fait underground !

3. Pour l’intérieur, je me suis inspirée des guirlandes Rainbow de Libelul, sans l’effet arc-en-ciel, faute de masking-tape !

Scotcher un bout de ficelle de cuisine moins long que la carte elle-même, dans le coin droit de la carte. Ajouter les petits fanions en collant sur lui même un petit bout de masking-tape préalablement coupé en deux dans le sens de la longueur.

Scotcher le 2° bout de la ficelle après avoir écrit la carte !

Et pour les finitions, coller une bande de masking-tape dans le bas de la carte, sur toute sa longueur.

Faire de même sur le côté gauche de l’enveloppe, une fois que la carte est prête à être envoyée.

Ne reste qu’à écrire de sa plus belle écriture « Vite facteur, l’amitié n’attend pas ! »

Et si vous avez d’autres idées de cartes de voeux fastoches à faire, je prends !