Billet Sponsorisé
Jusqu’à quel âge on rêve ? Il y a t’il un âge où l’on abdique ? Où l’on se dit « Ce n’est plus pour moi » façon « Si à 50 ans t’as pas une Rolex, t’as raté ta vie ? ».
Je me posais cette question en demandant à M. 7 ans, quels étaient ses trois rêves. « Etre adulte » m’a t’il répondu. Et quand il le sera, aura-t’il toujours envie d’être pilote de Formule 1 ou de disputer au moins un match à Roland Garros ? Ou balaiera-t’il ses rêves enfantins d’un revers de main, comme font parfois les adultes pour dire « foutaises » ?
D’autres pourtant, continuent à rêver. On peut avoir plus de 50 ans et des étoiles pleins la tête. C’est le message du concours Vivre mes rêves, organisé par la mutuelle Mutac et parrainé par le navigateur Marc Thiercelin.
Alain 58 ans rêve d’un lieu d’échange artistique pour séniors.
Marinette, 54 ans rêve de construire un moulin à grains à Madagascar.
Monique 63 ans rête de réhabiliter une mangrove en Nouvelle Calédonie
Claudie rêve d’une serre pédagogique accessible aux handicapés.
Béatrice, 54 ans rêve de marcher jusqu’au Nepal pour aider une association locale.
Ils croient tous en leur rêve mais un seul de ces 5 finalistes recevra 10 000€ pour le réaliser. Seuls les votes des internautes pourront les départager.
Pour voter, c’est ici http://www.vivremesreves.fr/votes/ jusqu’à demain (15 novembre) seulement !
Et maintenant je me demande bien le rêve que je réaliserais si ma route venait à croiser le génie de la lampe (mais il se rapprocherait un peu de l’illustration de ce billet). Ce serait quoi pour vous ?
Mes rêves à moi ne sont pas forcément grandioses, plus des projets, pour moi, mes enfants, ma famille. C’est beau le rêve.
Mamounette76 : oh oui ! Mais il y a des rêves pas grandidoses qui sont tellement difficile à réaliser. Louer une grande maison avec des potes par exemples. Des années que j’en parle, mais c’est un tel casse-tête !
j’en ai pleins moi des rêves : des rêves pour moi,des rêves pour les miens, pour ceux que j’aime, des humbles comme des rêves plus « majestueux », des pragmatiques comme des idéologiques, j’en ai certains qui datent de mon enfance d’autres plus actuels… Je ne crois pas que l’on cesse de rêver je crois juste qu’on les entasse ou qu’on les transfert… Il y a 13 ans ma maman me disait que jeune elle rêvait d’être heureuse et qu’à l’aube de ses 60 ans elle rêvait le bonheur pour les autres !
» elle rêvait le bonheur pour les autres ! »
c’est peut être ça le bonheur,…
😉
Mamanorglerin : j’allais dire comme Bub, c’est vraiment beau comme phrase. Merci
ça va être terre à terre mais mon premier rêve serait matériel car avec de l’argent j’aurais le toit rêvé pour y ma famille mais aussi pour la famille de mon frère…. et après j’aurais le temps de réaliser mes rêves de voyage !
Mon principal rêve restera un rêve car je voudrais revoir ma maman, disparue trop tôt et lui dire combien je l’aime !! Et qu’elle connaisse son petit fils et mon homme.
Mais bon, dans les plus réalisables, ça serait une maison à nous !! Pour continuer à agrandir la famille et recevoir les ami(e)s venant de partout !!
Carole : ah oui, avec des sous, on règle tous les « Et si ». Les voyages, je crois que j’en rêve mais je ne suis pas sûre d’aimer vraiment. Je dis souvent aux enfants « Un jour, je vous emmenerai voir des poissons multicolores sous les tropiques », « un jour j’irai à NY avec vous »… Un jour, ce serait bien de le faire.
Lilie : comme la scène du miroir où Harry Potter revoit ses parents. C’est touchant.
A voter!