Appelons ça le syndrome du petit banlieusard qui a une tour Eiffel de 2 mètres au mur de sa chambre. Depuis notre précédente virée à Paris, M. 6 ans, voulait monter à la tour Eiffel. Alors on est monté à la tour Eiffel. Comme des touristes, ou presque parce qu’on avait réservé nos tickets. Et ça, c’est la règle d’or n° 1 pour s’éviter une heure de queue.

Donc 1- Réserver les tickets sur le site de la Tour Eiffel en choisissant un jour, un horaire.

2- Se présenter au moins un quart d’heure avant ledit horaire pour faire une première queue. Parce que la tour Eiffel, c’est un peu comme chez Mickey, tu fais la queue tout le temps ! Ensuite, on fait une deuxième queue pour attendre l’ascenseur qui nous mène au deuxième étage.

Le deuxième étage, c’est haut. On voit tout Paris, si comme moi tu ne connais que le sacré coeur et la tour Montparnasse, tu auras vite fait le tour. Et tu referras la queue (au moins une demi-heure) pour monter au troisième étage.

Le troisième étage, c’est petit, tout en haut. On y voit les antennes et le paratonnerre et les enfants aiment ça. Enfin, les miens ! Puis tu refais la queue pour redescendre.

Mais pas jusqu’en bas, surtout pas. Tu fais un dernier arrêt au premier étage parce que finalement, c’est là que tout se passe ! Il y a de l’espace pour une exposition sur les lumières de la Tour Eiffel, pour le parcours pour les enfants matérialisé par Gus (d’ailleurs, si tu es prévoyant, tu as même imprimé les fiches pédagogiques que l’on trouve ), il y a de la place aussi pour des self-services où l’on peut manger assis (je passerai sur le fait qu’on a zoné en pique-niquant au 2° !)

Malgré tout, quand façon Dora, on demande aux enfants ce qu’ils ont préféré, ils répondent « Descendre à pieds (du premier étage et voir les antennes paraboliques« . Ils se fichent bien de faire la queue et ne râlent pas contre la désorganisation du monument le plus visité de France, eux !

Comme d’hab, la visite en photos sur la page Facebook de Mon blog de maman