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Le « bonnes vacances », c’est un peu le bon appétit des congés payés. Mais enfin, bien sûr qu’on va passer de bonnes vacances, ça fait un an qu’on les attend.

En tout cas moi, ça me stresse. Et je prends tous les « bonnes vacances » qu’on m’adresse comme de sincères vœux pieux, parole de petite fille qui s’est cassé le bras à 7 ans, au tout début des vacances…

Surtout que, on ne sait jamais si :

– il va faire beau (à ce propos, si quelqu’un pouvait exécuter la danse du soleil au lieu de me souhaiter bonnes vacances, ça m’irait aussi bien !). Parce que se retrouver à 4 dans moitié moins grand que d’habitude, ça frise la blague à la Béliveau !

– les enfants dormiront. Des vacances sans sommeil (enfin sans grasses mat jusqu’à 8h30), c’est comme un été sans soleil. Ça devrait vous parler…

– les enfants (et leur père) seront sages et obéissants.

– on va s’entendre avec nos potes (et leurs enfants), sans se dire nos quatre vérités façon « en 6eme t’avais un look de merde ».

Non, cet été on sera la famille Ricoré (avec un petit r dans le rond)… Sauf qu’on le prendra peut-être pas dehors ce p$%*$%# de petit déjeuner.

Allez, bonnes vacances !