Que dire sur Raiponce, le Disney de Noël qui sortira le 1er décembre, sans le desservir ? Car ce Disney là, mérite qu’on le découvre sur l’instant tellement c’est une bonne surprise.

Il y a un peu de Cendrillon dans Raiponce, jeune fille aux cheveux aussi longs que blonds, cloîtrée dans sa tour.

Il y a un peu de Blanche-neige ou plutôt de sa belle-mère, dans la méchante sorcière.

Il y a même un peu de Shrek (oui je sais, Dreamworks…) dans Maximus, le cheval de la garde royale.

Et pour une fois, le prince n’est pas lisse à faire se rendormir la Belle aux bois dormants, c’est un bad boy comme on les aime, comme Romain Duris qui le double.

De quoi plaire aux petites filles comme aux petits garçons.
– J. 3 ans n’a pas bougé non plus et c’était bien la première fois qu’elle regardait un film en entier. Même si ses lunettes 3D sont restées sur mes genoux. La 3D d’ailleurs, ajoute un petit côté féerique à ce Disney digne des meilleurs.

– M. 6 ans est resté scotché à son siège, derrière ses lunettes 3D, battant des bras pendant les scènes remuantes. Il y a juste une chose qu’il n’a pas aimé, dont je ne peux parler sans trop en dévoiler.

Je vous laisse le voir, ça vaux le coup !
Sortie nationale : le 1er décembre
En avant-première au Grand Rex à partir du 17 novembre, précédé de la féérie des eaux.

Bonus track : pour les puriste, Gallimard Jeunesse propose une jolie version illustrée du conte original des frères Grimm, lui même inspiré du conte allemand Rapunzel. Parce qu’au départ, Raiponce ne jouait pas de la poêle à frire !

Bonus track 2 : des places pour Raiponce à gagner aujourd’hui chez Carole et très prochainement chez Sandra.