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Je SAIS qu’il ne faut jamais lire les textes des autres dans un atelier d’écriture. Je veux dire, avant d’avoir écrit le sien. Un peu comme il ne faut jamais aller sur Doctissimo quand on a mal quelque part.

Et pourtant, j’ai lu la participation de Ginie au concours écrire au féminin organisé par aufeminin.com (au bout de son 10ème passage dans ma timeline Facebook,  j’ai de la volonté quand même ).

Je n’aurais pas dû. Son texte (à ne pas lire si vous êtes enceinte) m’a coupé le souffle et cassé les pattes. Qu’est-ce qu’on pouvait écrire après ça ?

Je me suis maudit d’avoir tant attendu. Je m’en suis voulu d’avoir lu son texte.

J’attendais sans doute un peu trop de ce concours. Et du coaching littéraire offert au trois gagnants. Ce n’est pas comme si j’avais écrit seulement 8 pages de mon best-seller en un an hein…

Alors j’ai laissé reposer tout ça. Et je suis allée voir du côté des petits riens qui font la vie. Parce qu’à ce moment là,  je devais me sentir un peu comme cette petite fille qui frotte une plume sur sa joue pour se consoler. Ça s’appelle « Prête moi ta plume« .

Je vous invite à lire mon texte et même à voter pour lui (pour une fois, je me laisse aller à ça, avec le temps de validation et mes vacances, je prends vraiment le concours en fin de course).

Un grand  merci à dom et à Marie pour leurs constructives critiques.

 

PS. Et l’illustration ? C’est parce que le jury est présidé par Tatiana de Rosnay herself. Et rien que pour ça…