J’ai toujours rêvé de m’appeler Victoire (comme Sophie Marceau dans la Boum. Oui, ça vient de là !). Je trouvais qu’Isabelle c’était banal. Déjà que j’étais blonde aux yeux bleus, sans histoire, et en plus, je me tapais le même prénom que la moitié de l’humanité. « Mais je veux pas être comme tout le monde » me disais ma petite voix intérieure (oui, celle qui m’a poussée un jour à me teindre les cheveux en orange carotte !). C’est simple, des Isabelle nées la même année que moi, il y en a 8 831 (alors que des Victoire… il n’y en a que 3 !!!).
C’est donc pas étonnant que dans ma classe il y ait toujours eu au moins une autre Isabelle. Même en CP. En plus, c’était la première de la classe et je la détestais. Elle avait un t-shirt Snoopy "Comment être modeste quand on est la meilleure" (non, je vous jure, c’est à pleurer. Et elle m’a piqué le 1er rôle dans la pièce de fin d’année en plus. Celui de la petite souris…pfffff. J’avais appris ses textes par cœur en espérant qu’elle tombe malade, mais non !)
Tout ça pour dire que c’est hyper stressant de choisir un prénom pour le bébé qu’on a dans son ventre. On sait pas la tête qu’il aura. On sait même pas si il sera sympa. Trop dur. Pour toutes ces raisons, il faut au moins se référer à des bouquins de 571 pages (comme le Maxi Prénoms marabout que j'aime beaucoup), histoire de trouver un chouette prénom, ni trop rare, ni trop courant, ni traumatisant pour le bébé (amené à devenir grand un jour, ne pas l’oublier non plus). Il faut aussi compter des heures de négociations avec le papa… qui souvent a le dernier mot… Et non… ma fille ne s’appelle pas Victoire !
Et vous, vous avez trouvé le prénom de vos enfants en un claquement de doigts ou vous avez attendu d’avoir une illumination en voyant votre bébé ?
Alors pour répondre à votre question, le choix du prénom a été super difficile, une méga prise de tête. Enfin au début. De toute les façons, je savais depuis le débit que j’attendais un petit mec, intuition… maternelle??? Bref, et puis oui j’ai eu la confirmation que c’était un petit gars. Quand au choix du prénom, ben… on avait décidé avec le papa que si c’était un garçon, je choisissais, et inversement. Bien entendu, j’ai eu la primeur de choisir!!! la liste s’est constituée, je la regardais, la tournais dans tous les sens. Jusqu’au jour où un prénom s’est imposé de lui même, il n’était même pas dessus, c’était au 6ème mois de grossesse et s’est imposé comme une évidence. Mon fils s’appelle donc… Quentin!
Bébé est un projet mais on parle déjà beaucoup du choix du prénom. Nous devons en trouver un qui somme aussi bien en français qu’en flamand (mon mari étant flamand et moi française!). Disons que ça complique encore un peu plus la chose! Et ça restreint pas mal aussi!
Bref on a du pain sur la planche!
Des Isabelle , je fais partie des 20 348 qui sont nées en 1968 en France .. C’était l’horreur , surtout qu’une de nos voisines ( vieille et sans dent ) s’appelait Isabelle . J’en ai encore froid dans le dos ..
Choisir un prénom pour son enfant ? faire une liste, et le jour où il pointe son nez , le choix se fera tout seul .
Je vais encore vous embêter avec mon histoire de 2 fois plus, mais franchement quand j’étais enceinte, c’était la vrai galère. Déjà qu’un, c’est pas facile, faut trouver Le bon prénom, et se mettre d’accord avec le papa, mais alors 2, au secours. Et hors de question,le: j’en choisis un, et la papa le deuxième, on détestait trop nos choix respectifs. Quand j’ai accouché, bien en avance, on s’était pas encore décidés. Mes bébés devaient être transporté dans un autre hopital, et là on me demande: avant de les emmener, vous vous voulez quand même leur donner un prénom, non? Heu, à moitié endormi par ma césarienne, et sous le coup de l’émotion, sans réfléchir, c’est le choix du coeur et de l’évidence qui a parlé :))
Les négociations de paix à l’ONU à coté c’était de la gnigniotte !!!
Mais on a pu trouver un terrain d’entente, 2 mois avant la naissance de Grenouillette et très tôt pour Crapule (de toute façon sur ce coup là j’étais inflexible niark niark niark).
Nos ancètres se cassaient moins la tête, ils respectaient la tradition : prénom du Grand Père "Jules" pour le premier garçon, de la Grand-Mère "Fortunée" pour la première fille, ensuite c’était le tour des autres grands parents, y en a même qui remontaient aux arrières grands-parents ou bien c’étaient les ainés qui décidaient du prénom des suivants ; Si la tradition n’était pas respectée c’était le drame familial ;
Ensuite, il y a la période ou l’état civil censurait les prénoms qui n’étaient pas dans la liste des fêtes à souhaiter (bon pour certains prénoms actuels la censure ne serait pas un mal);
Maintenant tout est permis, d’où la complexité du choix du prénom, mais sûrement que nos grans parents ou arrières grands parents auraient aimés avoir ce choix …
mamfred : c’était risqué ton truc, j’aurais jamais laissé mon mari choisir un prénom tout seul. J’aurais été bien embêtée qu’il choisisse par exemple le prénom du bouc émissaire de CE2 ou de la peste de 6° !
Clermonette : effectivement, le bilinguisme complique encore les choses. Tu as raison de t’y prendre dès maintenant (même si souvent on change d’avis une fois enceinte !)
Jimza : plus jamais je ne me plaindrai d’avoir le prénom de tout le monde. Je vois que ça aurait été bien pire si j’étais née en 1968… Merci de me faire relativiser
Audrey : tu veux dire que c’est toi qui a choisi les 2 prénoms ? Remarque nous, on a toujours hésité entre deux à la fin. Comme ça, pas de dilemme !
Mamzelle Maupin : Grenouillette et Crapule, c’est pas un peu bizarre comme prénoms ça ? Je plaisante !!! C’est sûr que ça doit aider d’être diplomate… pour arriver à ses fins l’air de rien.
Framboise : Dans le temps, on ne faisait pas dans la dentelle mais toutes les traditions ne sont pas bonnes ! L’avantage de tous les prénoms originaux d’aujourd’hui, c’est que le "parc" de prénoms a considérablement augmenté si bien que même le prénom le plus donné en 2004 (je crois que c’est Enzo) n’a même pas atteint les 8 000 enfants. On est loin des 20 000 Isabelle de 1968 !
Et bienvenue à mamfred, Clermonette, Jimza et Mamzelle Maupin !
non, bien sûr que non isabelle. Mon mari est très sympa, mais y a des limites
On hésitait pas mal sur plusieurs prénoms, et le choix nous a paru évident en moins de 2 secondes…
Nous, nous avons un peu attendu de connaître nos bébés dans le ventre avant de réfléchir et, généralement, c’est venu tout seul et leurs prénoms aujourd’hui correspondent vraiment à leurs personnalités
Audrey : Ah, je me disais aussi !!
Flannie : c’est vrai. Nous, on cherchait un petit nom de coquin pour le premier et c’est effectivement un vrai chenapan.
Un nouveau bébé en projet et les prénoms sont déjà choisis, c’est comme une évidence, de toute façon je ne suis pas très fan de tous les prénoms à la mode actuellement pour les petiots
Lily0408 : je te souhaite que votre beau projet aboutisse rapidement et que vous ne changiez pas d’avis d’ici là ! Moi non plus je ne suis pas fan des prénoms "modeux" ; plutôt branchée 1900 !
Nous attendions des jumeaux, et le choix des prénoms étant un DES SUJETS de la grossesse, j’en ai parlé dans mon blog:
garustave.canalblog.com/a…
psst… trésor 2005 s’appelle isabelle ….
gil : oui mais des Isabelle en 2004, il y en a eu que 416 !!! (et puis c’est un très joli prénom, dedans il y a Isa !)
Pour la premiere, cela devait etre Agathe, et un jour le gynéco l’a appelée ainsi, et j’ai vu une vieille dame courbée vétue de norie avec une canne… alors impossible. Résultat, elle s’appelle Pernille. De la, nous devions penser à des prénoms originaux pour les suivante. Ainsi Mahaut est arrivée (elle aurait du s’appeler Saskia, mais papy trouvait que cela faisait…) et Ombline aucune discussion. Alors, les tiens ???,