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« On dit pas hoverboard, on dit gyropode« , message dans l’oreillette de mon 12 ans qui a donc eu un GYROPODE pour son anniversaire (c’était sur la liste de ses envies avec la mention « Si maman gagne au loto ». Je n’ai pas gagné à l’Euromillions hier soir, HELAS).

Bref. Je pensais vous faire une vidéo-gag façon regardez comme je me croûte. Et en fait RIEN. C’est franchement simple à utiliser.

On met un pied dessus, puis l’autre et on avance lentement en se penchant comme avec un segway mais sans manche. Comme je suis diplômée es segway (souvenez-vous), j’imaginais que je tenais le manche et bzzzzz. En mode ralenti quand même (l’engin peut aller jusqu’à 14 km/h IL PARAIT !)

Une fois qu’on est dessus, il faut descendre. Ce qui reste le vrai challenge. On enlève le pied droit, puis tout de suite après le pied gauche. Et voilà.

C’est tellement simple que ça mérite à peine un billet. Mon fils qu’il est beau alias le youtubeur masqué en a quand même fait une vidéo. Il est prêt pour la Paris Games Week on dirait.

Vidéo tournée à la verticale – mais n’importe quoi moi)

Et sinon, dimanche, on est allés dans les bois. Nous sur nos rollers. Lui sur son gyropode. Et bien le soir, il avait mal aux jambes et pas nous.

Avant de faire demi-tour, il s’est quand même inquiété de l’état de sa batterie (14 km d’autonomie sur le papier) parce qu’en cas de panne, la bête est lourde (10 kg). Quand je pense que les passants le prenait pour un fainéant sur sa planche à roulettes électrique !

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