carte-postale

Je sais que je le fais chaque année. Et pourtant, je refais toujours ces choses idiotes, comme un rituel qui me dit « C’est les vacances ! »

J’achète des cartes postales, je colle même les timbres dessus. Et je les ramene dans mes valises même pas écrites. « Non mais je voulais t’écrire, je t’assure » (Vous voulez vos cartes avec des marmottes dessus, les copines ?)

J’emporte 4 paires de chaussures et je n’en mets qu’une (les tongs. Celles qui prennent le moins de place. Forcément.)

J’emporte trois gros bouquins que je veux lire depuis longtemps et je me retrouve à feuilleter le Public que j’ai acheté JUSTE POUR LE CADEAU et dans lequel je ne connaîs de toute façon absolument aucune « star ».

Je pense aux prochaines vacances alors qu’on n’est pas bien là, à prendre un apéro panoramique ?

Je pense à la rentrée. Alors qu’on est en vacances, bon sang. Et qu’on a déjà acheté toutes les fournitures scolaires. Toujours les acheter en juillet. Toujours !

Je prends en photos mes pieds. MES PIEDS. Alors que c’est moche un pied. Vraiment. Même avec du vernis. C’est moche.

Je rapporte la spécialité du coin, du Génépi (au hasard) ou n’importe quoi dont je me suis baffrée pendant toutes les vacances… Et on y goûterà peine une fois à la maison, tellement ça n’a pas le même goût sans le micro-climat. (C’est pareil avec les amours de vacances d’ailleurs – je dis ça de mémoire hein !). EXCEPTION pour le reblochon…

Je trouve les enfants plus grands. Est-ce que c’est une illusion d’optique causée par le bronzage, ou le régime vacances qui les fait grandir vraiment ?

Je me trouver plus FAT. Aucun illusion d’optique. C’est le régime vacances (et les apéros panoramiques) mais on s’en fout, on a PRO-FI-TÉ !

Je vous laisse compléter, parce que je suis sûre que je suis loin du compte !

 

PS : vous noterez le bon goût de ma fille pour les cartes postales 

PS2 : mais quand même, le t-shirt marin de Cosmo est canon !