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Quand ils ne sont pas là, j’écoute Biolay en boucle (Patrick Bruel c’est #old 😉 )

Quand ils ne sont pas là, je range leurs chambres en jurant que c’est la dernière fois (jusqu’à la prochaine).

Quand ils ne sont pas là, je file au ciné voir n’importe quoi pourvu que ce soit pour les grands (En équilibre, Everything will be fine récemment).

Quand ils ne sont pas là, je mange ce qu’il y a, même si il n’y a rien (NB : j’accepte toutes les invitations à déjeuner).

Quand ils ne sont pas là, je sais qu’ils sont bien là où ils sont.

Quand ils ne sont pas là, je me promets d’être plus zen quand ils reviendront avec leurs chamailleries.

Quand ils ne sont pas là, je dors (pas vraiment bien) dans la chambre de mon grand.

Quand ils ne sont pas là je vais voir cette grand-mère que j’aime comme la mienne. Leur arrière grand-mère.

Quand ils ne sont pas là, on se croirait parfois dans Sex and the city avec mes nouvelles copines. #callmecarrie

Quand ils ne sont pas là, ils sont encore un peu partout (comme les élastiques Loom).

Quand ils ne sont pas là, je fais ce que je veux où je veux quand je veux (même si c’est rien dans le canapé).

Quand ils ne sont pas là, ils ne me manquent pas vraiment mais je suis toujours pressée de les revoir (plus que un dodo).

Ce billet fait écho à celui-ci, d’un autre temps. Je n’ai pas choisi tout ça. Mais j’ai choisi de voir le beau là où il est. La vie est trop courte pour pleurer.

PS : je plaisante pour Patrick hein. Smouack 😉