En Allemagne, d’où je viens*, on passe nos fraîches soirées d’hiver autour d’un jeu de société en buvant du Schnapps. Quand on tient une tradition pareille, on s’y accroche ! J’ai donc testé pour vous (et pour le père-noël qui parait-il est en train de choisir les cadeaux qu’il mettra au pied du sapin) une poignée de grands classiques : 

Dès 3 ans

Le Memory.
En théorie, c’est à partir de 3 ans mais comme M. déteste. Je suis privée de ce jeu que j’ai toujours adorée. Chez des copains qui ont plein d’enfants qui ont bien voulu jouer avec moi, j’ai testé celui là avec des animaux. Je lui donne ++++ !

Les dominos. (3-4 ans).
C’est piège les dominos parce qu’il faut bien les choisir avec des dessins assez gros que l’enfant ne confondra pas entre eux. C’est notre jeu préféré du moment. M. devient coriace, j’ai vraiment du mal à gagner ! En bois comme celui là, c’est top (comme ce site avec plein de jeux allemands supers).

A partir de 4 ans

Mon premier Monopoly.
Mon M. 4 ans, c’est un winner. Il faut voir comme il nous spolie. Le grand capital passera peut-être par lui ? Pour jouer, il faut juste savoir compter et monsieur Monopoly sur sa petite voiture fait le reste.  A chaque passage, on met une brique. Si le rang de notre brique correspond à celui qui est indiqué sur la case, on trace notre territoire en posant un toit.

Mon premier docteur Maboul.
Alors que d’aucuns se la jouent nostalgie de leurs jouets d’antan, d’autres innovent, jouent l’inconnu. Sauf que le malade, c’est un cochon qui fait grouin, grouin. Les enfants accrochent moi, beaucoup moins. Je vais attendre quelques années pour ressortir mon bon vieux docteur Maboul (à ce propos, si quelqu’un à une pomme d’adam en rab, j’avais perdu la mienne…).

Essayez en passant de leur apprendre à ne pas être mauvais joueur. C’est pas gagné chez moi m’enfin. A quoi vous jouez, vous ?


* même pas vrai, je suis 100% normande. C’est pas interdit de romancer un peu quand même.
PS : Et aujourd’hui, retrouvez des morceaux de moi ici, avec un billet sur l’Aigle noir de Barbara (ou presque !).